Le constructeur français Velobecane a fait des vélos électriques de ville sa spécialité depuis maintenant dix ans. Le modèle Easy est l’un des moins chers de sa gamme, et chute même à 700 euros grâce à l’aide financière accordée par l’Ile-de-France. Que vaut-il au quotidien ? Nous l’avons testé pendant un mois sur plus de 150 kilomètres.
Le Velobecane Easy // Source : Frandroid
Entreprise française spécialisée dans les vélos électriques depuis près de dix ans, Velobecane est aujourd’hui installée à Paris, dans le 11e arrondissement. Sa seule et unique boutique propose une petite dizaine de deux-roues destinés à la ville : du compact au pliable en passant par le style VTC, dans une gamme tarifaire oscillant entre 879 euros et 2000 euros.
Le constructeur assemble ses produits en France, dans le département du Nord (59), mais fait construire ses pièces en Chine, au Japon, en République tchèque, au Portugal et au sein de l’Hexagone également. Avec quarante salariés dans ses rangs, Velobecane compte profiter du boom fulgurant des vélos électriques pour consolider sa position sur le marché.
Parce qu’il n’y a pas que Moustache, VanMoof, Cowboy ou Angell (pour ne citer qu’eux) sur le marché des vélos électriques, nous avons voulu tester le Velobecane Easy, un engin de ville qui correspondra probablement à plus de bourses, en échange de quelques concessions.
Modèle | Velobecane Easy |
---|---|
Vitesse max | 25 km/h |
Puissance du moteur | 250 watts |
Nombre d'assistances | 3 |
Technologie de batterie | Li-Ion |
Autonomie annoncée | 40 km |
Temps de recharge annoncé | 360 minutes |
Batterie amovible | Oui |
Bluetooth | Non |
GPS | Non |
Poids | 23 kilogrammes |
Dimensions | 48 x x 115cm |
Taille des roues | 26 pouces |
Couleur | Noir |
Poids maximal | 120 kg |
Phares | Oui |
Feu arrière | Oui |
Fiche produit |
Pour effectuer ce test, le vélo a été donné à la rédaction par Velobecane et Cdiscout.
Simple, mais efficace : voilà comment l’on pourrait décrire le look du Velobecane Easy. Certes, ses lignes esthétiques ne respirent pas le haut de gamme — le vélo ne se positionne d’ailleurs pas sur ce segment –, mais les avis de mon entourage à leur premier coup d’œil ont globalement été unanimes : « Franchement, il est pas mal ! ».
Velobecane Easy // Source : Frandroid
Son style conforme à un VTC classique n’attirera peut-être pas tous les regards, mais conviendra au commun des mortels ne recherchant pas la crème de la crème stylistique. Son cadre en « acier à haute teneur en carbone », des dires de la marque, revêt un sérieux avantage : l’absence de tube supérieur, qui permet d’enfourcher le vélo — et inversement — avec une facilité déconcertante.
Long de 115 centimètres et haut de 48 centimètres (sans tige de selle, 61 centimètres avec), le Velobecane Easy convient aux cyclistes mesurant entre 1,57 et 1,84 mètre. Les finitions sont quant à elle perfectibles, à l’image des soudures. Ce n’est que du détail et, encore une fois, le modèle n’a pas été conçu pour tenir la dragée haute aux VanMoof ou Cowboy en s’armant d’un design ultra soigné et lissé.
À l’avant, le constructeur tente de camoufler le passage des câbles par une sorte de protection en toile estampillée Velobecane. Les noms de la marque et du modèle apparaissent d’ailleurs à plusieurs reprises en écriture blanche sur peinture noire : sur le tube oblique qui se prolonge jusqu’au pédalier, la fourche en acier, la base et la batterie.
Le phare avant du Velobecane Easy // Source : Frandroid
Côté équipements, l’engin propose un attirail classique, mais toujours très intéressant à avoir à vos côtés. Certains vélos électriques vendus plus de 2000 euros ne proposent pas ces équipements de série, a contrario du Velobecane Easy. Toujours bon à prendre :
Ce trio a été conçu en acier, matériau majoritairement utilisé pour ce vélo électrique. Facile à travailler, l’acier résiste bien au choc, coûte moins cher, mais pèse généralement plus lourd. Le poids du Easy est d’ailleurs l’un de ses points faibles, mais nous reviendrons sur ce point plus tard.
Bonne nouvelle : la batterie du Velobecane Easy est amovible. Lorsque vous garez votre vélo dans un local prévu à cet effet, il suffira donc de la débloquer pour l’embarquer avec vous sans pour autant déplacer le vélo tout entier. Pratique. D’un poids de 2,5 kilos, cette pièce maîtresse s’insère derrière la tige de selle. Un système de rail de guidage vous permet de l’insérer ou de la retirer comme il se doit. La poignée facilite la manipulation.
Avec sa poignée, la batterie du Velobecane Easy est facile à retirer // Source : Frandroid
Sur la partie latérale supérieure de la batterie, un cylindre a été installé pour gérer l’arrêt et l’allumage de la batterie, mais aussi son déblocage. En insérant une clé bien évidemment fournie avec le vélo, vous pouvez stopper, activer ou déverrouiller la batterie. De l’autre côté, se trouve le port de charge — camouflé par une mini trappe coulissante — pour brancher votre chargeur.
Le Velobecane Easy bénéficie d’un moteur brushless (ou sans balais) de 250W d’un couple de 42 Nm, conforme, donc, aux normes exigées par l’UE. L’assistance électrique le propulse jusqu’à 25 km/h, soit la limite légale imposée aux constructeurs. Le moteur brushless apporte quelques avantages supplémentaires, comme une bonne durée de vie, une meilleure compacité, des performances plus élevées et un faible entretien. Ce type de moteur ne produit généralement pas de bruit : ce n’est pas le cas sur ce modèle après un mois d’utilisation, nous y reviendrons également plus tard.
Le fabricant français a opté pour les phares à LED Spanninga 36V à l’avant et à l’arrière, tous deux alimentés par la batterie. L’éclairage n’est pas directement intégré au cadre, mais bénéficie d’un boîtier dédié fixé au vélo. À l’avant, le phare est réglable latéralement et horizontalement.
Comme expliqué ci-dessus, le vélo électrique Velobecane Easy convient aux personnes mesurant entre 1,57 et 1,84 mètre. Du haut de mon mètre soixante-quinze, ma taille se situe parfaitement à l’entre-deux. Dans tous les cas, la selle bénéficie d’un réglage large pour convenir à vos mensurations.
Le guidon du Velobecane Easy // Source : Frandroid
Me concernant, il m’a fallu la remonter comme il se doit pour que mes jambes relativement longues se déplient à presque 100 % lors du pédalage. Le format VTC combiné au cadre mixte (ou ouvert) cantonne votre position de conduite à une stature bien droite. On s’y fait très rapidement, comme tout vélo de ville. Ce format de cadre vous permet aussi d’enfourcher votre vélo sans aucune difficulté : très pratique.
Ce sont parmi les gros points forts du Velobecane Easy : son équilibre et sa maniabilité. Agile, passe-partout malgré son gabarit moyen, très bel angle de braquage, le vélo est un pur régal à conduire. Une manœuvre d’urgence pour éviter un piéton, un cycliste ou une voiture inattentive ? Le modèle Easy est un très bon compagnon pour ce type de situation, même à une allure élevée. Constat similaire sur des virages serrés.
Certes, le poids de 24 kilos est un gros défaut du vélo : mais il a au moins le mérite de bien le tenir en place face à de fortes rafales de vent latérales. Globalement, il en ressort un véritable sentiment de sécurité une fois assis dessus. Par curiosité, je me suis permis d’ôter mes mains du guidon — fortement déconseillé — pour observer son comportement : la stabilité est bonne, voire très bonne.
Le Velobecane Easy s’équipe de roues de 26 pouces à double paroi. Ce type de jantes s’avère plus solide et plus résistant qu’une jante à simple paroi. Je ne vous conseillerais cependant pas de monter et descendre des trottoirs trop hauts durant vos trajets. Comme indiqué ci-dessus, ce vélo est lourd : à force d’amortir les différents chocs, les roues risquent de ne pas apprécier. Surtout celle de derrière, où se concentre la majorité du poids.
Le Velobecane Easy, très facile à enfourcher // Source : Frandroid
Car c’est là aussi l’un des points faibles de ce véhicule urbain : l’absence de suspensions, ni à l’avant, ni à l’arrière, ni dans la selle. À l’usage, le modèle Easy n’est pas le plus confortable. Le vélo ne gomme pas les aspérités de la route, ce qui entraîne des vibrations plus ou moins fortes selon l’état de la chaussée. Sur les pavés, l’expérience tourne à la petite catastrophe.
J’évoquais plus haut le sentiment de sécurité qui règne avec ce vélo : ses freins à disque mécaniques (160 mm) accentuent ce ressenti. Certes, ne sont pas des freins à disque hydrauliques, réputés pour être plus puissants, mais le freinage est bon et progressif pour vous arrêter normalement ou en cas d’urgence. On aurait cependant aimé qu’ils soient un tout petit plus mordant. Les roues ne se bloquent pas, même en cas de sol mouillé ou météo capricieuse. Bref, les freins du Velobecane Easy ont répondu présent en toutes circonstances.
Mon avis concernant l’assistance électrique est partagé. Doté d’un capteur de rotation légèrement modifié par le constructeur, de ses dires, le vélo ne reçoit pas de puissance électrique instantanément. Il faut effectuer deux tours de pédalier (en général en vitesse 1 ou 2) pour que le moteur comprenne enfin ce pour quoi il a été installé.
Ce constat s’applique aussi lorsque vous êtes lancé à une allure lente, modérée ou rapide : arrêtez de pédaler, reprenez votre pédalage… et patientez au moins deux secondes pour recevoir de la puissance. Attention : si vous pédalez pendant un bref instant seulement, l’assistance continuera de fonctionner pendant un court laps de temps même après l’arrêt de votre pédalage. Cela entraîne des difficultés pour réellement contrôler la vitesse du vélo selon la situation.
Si vous tentez de démarrer en vitesse 4 ou 5, vous sentirez les 24 kilos du vélo dans les jambes bien qu’un tour de pédalier à peine suffise pour recevoir de la puissance. Mais l’effort est tout de même présent. En clair : privilégiez un départ arrêté en vitesse 1 ou 2, sur les 7 proposées, pour éviter tout effort. Ce nombre de vitesses reste avantageux, puisqu’il permet de moduler votre effort selon vos envies.
Le moteur est situé sur le moyeu arrière du vélo // Source : Frandroid
La puissance délivrée par le moteur est selon moi trop brutale, et pas assez linéaire. En mode Medium ou High — la différence entre ces deux modes est minime –, le vélo accélère fortement pour grimper très vite au-dessus des 20 km/h. Une accélération certes dynamique, mais peut-être plus progressive, n’aurait pas été de trop.
Mais tout le plaisir de l’assistance électrique intervient au moment de pointer à 25 km/h : une fois cette vitesse atteinte, rétrogradez en vitesse trois, par exemple, et continuez de pédaler. Vous aurez alors l’impression de pédaler dans le vide — votre allure est trop élevée pour la vitesse utilisée — tout en profitant de la puissance maximale du moteur grâce au capteur de rotation.
Quant au mode Low — qui est pour le coup vraiment « low » –, privilégiez-le pour une conduite plus prudente, dans des zones où les piétons sont plus nombreux. Bien qu’en général, vous ne l’utiliserez que très rarement comparé aux deux autres.
Le Velobecane Easy n’est pas un vélo connecté, et ne bénéficie donc d’aucune application mobile. Sur le site officiel du constructeur, la fiche technique mentionne la présence d’un petit écran de bord LCD : le vélo testé n’en possédait tout bonnement pas. La vigilance est donc de mise au moment de l’achat.
Le « tableau de bord » du Velobecane Easy // Source : Frandroid
En lieu et place de cet écran a été installé un boîtier sur lequel figurent trois boutons : chacun correspond à l’un des modes susmentionnés. Au-dessus, plusieurs voyants lumineux : cinq pour l’autonomie, trois pour les modes Low, Medium et High. Aucune donnée précise n’est donc disponible pour connaître son autonomie restante.
Le Velobecane Easy a été testé sur plus de 150 kilomètres durant plusieurs semaines. La majorité des trajets a été effectuée dans Paris intra-muros, mais également en proche banlieue parisienne. Le vélo s’est avéré être une bonne alternative pour les trajets entre mon domicile et le travail, tout comme les autres déplacements du quotidien.
L’un de mes tout premiers trajets avec le Velobecane Easy consistait à relier le 12e arrondissement avec la ville de la Garenne-Colombes : 15 kilomètres à l’aller, 15 kilomètres au retour, un bon moyen de voir ce qu’il a dans le ventre. Les premières sensations sont bonnes, bien qu’il faille s’habituer au fameux fonctionnement de l’assistance électrique.
Le mode High a été utilisé pendant tout l’itinéraire : avec la batterie pleine, les 25 km/h sont rapidement atteints une fois la puissance envoyée par le moteur. Avec 40 kilomètres d’autonomie annoncée, les cinq voyants lumineux relatifs au rayon d’action correspondent donc logiquement à 8 kilomètres chacun.
Même sur sol mouillé, les freins à disque mécanique remplissent bien leur rôle // Source : Frandroid
Le premier voyant s’est éteint au bout de 26 minutes, sur 55 minutes de trajet. Une fois arrivé à destination, quatre voyants sur cinq étaient encore allumés. De bon augure pour la suite. Cette balade a été ponctuée par une forte pluie. L’occasion de tester les freins sur sol mouillé : rien à signaler sur un freinage classique et plus forcé.
Les ¾ du trajet ont été volontairement effectués sur des pistes cyclables, histoire de confronter le vélo avec les autres deux-roues de Paris. Au démarrage, le Velobecane Easy se fait clairement « manger » en cas de vitesse 3 ou 4 sélectionnée, car trop lourd. Encore une fois, la vitesse 1 ou 2 est clairement à privilégier pour se lancer plus rapidement et sans effort.
La puissance du moteur électrique fait ensuite son effet et vous propulse à 25 km/h en un laps de temps très court. J’ai ensuite privilégié la vitesse 5 lors du trajet, qui correspondait bien à ma vitesse de croisière : vous n’avez pas totalement l’impression de pédaler dans le vide, mais l’effort reste minime. En cote, les vitesses les plus faibles vous permettront de gravir un dénivelé sans problème particulier, avec une allure tout à fait convenable.
Le chemin du retour a été effectué le soir, de nuit, en empruntant un itinéraire légèrement différent. Le phare avant est convenable, et permet avant tout d’être vu par les autres usagers de la route en indiquant votre présence. Toujours utile pour se faire remarquer et éviter un incident quelconque.
Pour ce retour, direction les pavés de la rue Saint-Honoré. L’absence de suspension n’a clairement pas rendu ce passage agréable. Au programme : vibrations dans tout le vélo (surtout la selle) et votre corps. Tant et si bien qu’il m’a fallu ralentir pour calmer toute cette agitation. Clou du spectacle : le vélo déraille.
Le Velobecane Easy // Source : Frandroid
Il est temps de retourner le vélo pour remettre la chaîne sur son chemin. C’est là que les 24 kilos sur la balance s’avèrent très encombrants. Au cours des soixante premiers kilomètres, le deux-roues a déraillé quatre fois : mon passage de vitesse un peu brutal en est surement la cause. En ajoutant un peu de douceur, je n’ai depuis jamais revécu cette petite mésaventure.
Notons que le Velobecane Easy n’est pas un vélo à courroie et il dispose donc d’une chaîne classique forcément plus salissante, plus sujette au déraillement d’une manière générale, et dont l’entretien doit être plus régulier. Ce type de choix fait partie des petites concessions à accepter pour profiter d’un prix plus contenu au moment de l’achat, bien qu’une courroie ne coûte que quelques dizaines d’euros de plus qu’une chaîne.
Quant à l’autonomie, le nombre de voyants lumineux a chuté à trois au bout de 15 minutes, puis à deux 30 minutes plus tard, à quelques dizaines de mètres de mon point d’arrivée. À ce moment précis, mon autonomie restante estimée était de 15 kilomètres, pour 30 kilomètres parcourus.
Le Velobécane Easy convient entièrement à un usage vélotaf. Environ six kilomètres séparent mon domicile à mon lieu de travail, le tout effectué en vingt minutes top chrono. Attention cependant : avec 40 kilomètres d’autonomie sur le papier — bien que légèrement plus dans les faits –, une recharge par semaine minimum est obligatoire.
Au fil des kilomètres parcourus, un constat chagrinant s’est imposé de lui-même : une perte de puissance est à signaler lorsque le boîtier n’affiche plus que trois voyants lumineux d’autonomie. L’accélération est un poil moins dynamique et la vitesse de pointe avec l’assistance électrique plus faible de deux ou trois km/h. Ce système permet au moins d’économiser de la batterie.
À gauche, le klaxon, à droite, l’activation des phares // Source : Frandroid
Ici, pas de sonnette classique, mais un klaxon qui remplit plutôt bien son rôle. Les personnes signalées esquissent même parfois un sourire en l’écoutant. À titre personnel, j’aurais préféré une sonnette conventionnelle, laquelle permet de mieux nous identifier en tant que cycliste. Malgré mes petites mains, le bouton tombait plutôt bien sous mon pouce.
Le Velobecane Easy bénéficie aussi d’une aide au démarrage uniquement disponible en mode Low. Il suffit de rester appuyer sur le bouton Low pendant environ deux secondes, pour qu’une petite impulsion soit transmise. Personnellement, je n’ai presque jamais utilisé ce mode dont l’utilité reste encore à prouver. Démarrer en première vitesse m’a semblé plus intuitif. Un mode sans aucune assistance a aussi été ajouté pour les plus téméraires.
Au fil de mon test, j’ai progressivement délaissé la vitesse 5 une fois les 25 km/h atteints pour profiter des vitesses 3 et 4 qui ne demandent aucun effort. Certes, on a légèrement l’impression de pédaler dans le vide, mais arriver à une destination sous 25 degrés sans la moindre goutte de sueur fut un réel plaisir. Interrompre votre pédalage impactera cependant votre vitesse : le pédalier doit constamment tourner !
Pour accéder à la batterie, une manette située en dessous du siège doit être soulevée // Source : Frandroid
Autre remarque : les indicateurs lumineux relatifs à l’autonomie rencontrent quelques bugs d’affichage. J’ai par exemple déposé mon vélo avec trois voyants restants, avant de le récupérer quelques heures plus tard avec non pas trois, mais quatre voyants allumés. Celui de trop s’est cependant éteint quelques minutes plus tard.
Après un mois d’utilisation, plusieurs petits « pépins » ont fait leur apparition. Il y a fort à parier que le Velobecane Easy n’aime pas les aspérités et les pavés, puisque le phare avant s’est littéralement dévissé, probablement en raison des vibrations trop fortes. Le phare arrière semble aussi se désolidariser progressivement. Le moteur a quant à lui commencé à produire un bruit typique des engins électriques au moment des accélérations. Étonnant pour un moteur sans balai censé être silencieux.
Le Velobecane Easy bénéficie sur le papier d’une autonomie de 40 kilomètres grâce à sa batterie lithium-ion de 300 Wh. Est-elle juste, surestimée ou sous-estimée ? La troisième option semble la bonne, puisqu’au moins 45 kilomètres ont été effectués en une seule charge, avec quelques kilomètres restants à parcour
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